Baptiste Lecaplain : "La thématique du festival est tout à fait dans la veine de ce qu’il dégage."

Porté par des valeurs de bienveillance et d'accessibilité, le FESTIFF - premier festival européen du cinéma feelgood - célèbre la joie de vivre, la créativité et le lien humain. Parmi les invités, le comédien Baptiste Lecaplain est venu en toute amitié et par plaisir de soutenir et découvrir un festival qui mériterait de devenir un rendez-vous incontournable de la culture feelgood. Rencontre.

« Baptiste, tu es présent à la 1ère édition du Festival du Cinéma Feel Good à l’Isle-sur-la-Sorgue. Qu’est-ce que ça représente pour toi ?

Je suis venu par amitié pour Maurice Barthélémy, un monsieur qui m’a fait tourner il y a dix ans et permis de revenir dans le cinéma avec Les Ex. J’avais adoré son film Papa et je suis extrêmement fan de lui. Il m’a toujours fait beaucoup rire. Humainement, c’est un amour. La thématique du festival est tout à fait dans la veine de ce qu’il dégage. C’est un gars gentil, dans la bonne humeur, le plaisir et le partage.

Quel est le premier film feel good que tu as découvert ?

Bonne question. Mon premier film au cinéma, c'était La petite sirène, avant d’enchaîner avec Dracula de Coppola. Dans La petite sirène, j’aimais bien le chien - un bogtail - du prince Eric, et puis durant la séance, à l’époque, il y avait la dame qui vendait les bonbons avec son panier. Tout ça a été feel good.

Quels sont tes prochains projets ?

Le spectacle du trio va sortir sur Canal + mi-novembre avec Jérémy Ferrari et Arnaud Tsamère, c’est punk feel good. On réfléchit à faire un film ensemble. Ensuite, je vais tourner l’année prochaine dans un premier film avec José Garcia et Isabelle Carré. Enfin, un doublage de dessin animé arrive.

Pour conclure cet entretien, aurais-tu une citation fétiche à me délivrer ?

Je suis obligé de te citer la troupe du Splendid et la fameuse scène avec le crapaud dans la bouteille, dans Les Bronzés font du ski. Il y a un « merciiii hein » de Christian Clavier absolument génial. On n’arrêtait pas de le refaire avec Manu Payet. »