Natif du sud-ouest de la France, Didou est un jeune humoriste frais et pétillant. Après avoir suivi pendant deux ans une école de théâtre, il crée son propre spectacle qui connaît un franc succès aujourd'hui. Ambitieux et talentueux, il est proche de son public avec lequel il communique régulièrement sur les réseaux sociaux. Rencontre avec Didou, le pote idéal !
« Vous jouez actuellement votre premier spectacle. Pouvez-vous nous en parler plus en détail ?
Je commence mon spectacle avec de l'improvisation car j'adore connaître le type de spectateur présent. Cela permet de sentir l'ambiance dans la salle. Ensuite, je me moque de plein de choses comme la voix de Julien Doré qui me fait beaucoup rire et je me demande s'il parle comme ça dans la vie de tous les jours. Après, je parle des femmes nouvelles génération qui sont en train de prendre le pouvoir.
Depuis combien de temps jouez-vous ce spectacle ?
Cela fait deux ans et demi que je le joue. Il a beaucoup évolué depuis son démarrage. J'ai des nouveaux sujets qui arrivent. Depuis trois mois, j'écris avec le journaliste de RTL Florian Gazan. Et on a pour but de faire une version du spectacle qui ne bougera plus.
Où peut-on vous retrouver prochainement ?
J'ai eu une première grosse tournée de janvier à avril où je suis allé jouer à Lyon, Rennes, Toulon ou encore Cogolin. À partir du 31 mai jusqu'au 31 août, je reprends ma programmation à Paris. Ensuite, j'ai des dates de tournées de septembre à décembre.
Allez-vous participer au festival d'Avignon cet été ?
J'ai fait le festival d'Avignon pour la première fois l'année dernière et j'y retourne cet été pour trois dates seulement. C'est un festival assez incroyable à faire. Quand tu arrives là-bas, tu as huit cents personnes et deux mille spectacles donc celui qui passe dans la rue, c'est ton client. La première semaine, tu es quand même hyper-motivé mais c'est très endurant, ça dure un mois durant lequel tu joues tous les jours.
Votre spectacle connaît un fort succès mérité. Quel moyen de communication utilisez-vous pour le promouvoir ?
Il faut se fixer des objectifs. Par exemple, pour le mois de septembre, on a envie d'avoir un peu plus de relais au niveau médiatique. On capte le spectacle en récupérant des extraits et on bâtit un bon dossier de presse. J'ai fait pas mal de festivals auparavant et j'ai la chance d'avoir des bonnes critiques. La communication passe aussi par le public avec le bouche-à-oreille.
Vous êtes natif du sud-ouest de la France. Comment avez-vous compris que vous seriez humoriste ?
Quand on est du sud-ouest, on tombe vite dans l'humour (rire). Depuis tout petit, j'ai toujours voulu faire ça. Je n'avais jamais trop eu le courage de me lancer. Il y a eu un petit événement familial qui a fait en sorte que je réfléchisse sur pas mal de choses. Je suis monté à Paris et j'ai fait une école d'humour pendant deux ans.
Des humoristes vous ont-ils influencés ?
Comme c'est une interview marseillaise, je vais dire Patrick Bosso (rire). Non plus sérieusement c'est Stéphane Rousseau qui m'a donné l'envie de monter sur scène. J'aime bien également la nouvelle génération comme Vérino que je trouve très talentueux. Tous les deux font vraiment partie des personnes qui m'ont inspiré et qui m'ont donné la motivation de passer le cap.
Vous avez fait les premières parties de Jeanfi Janssens, Jean-Marie Bigard, Vérino, Baptiste Lecaplain et Chantal Ladesou au Casino de Paris. Parmi ces humoristes, lequel vous a donné des conseils sur votre écriture ou mise en scène ?
Là où j'ai pris le plus d'expérience et de savoir-faire, c'est au Casino de Paris avec Chantal Ladesou. Tu te retrouves projeté dans une salle mythique de Paris dans laquelle tu as vingt-cinq minutes à faire. Les gens ne viennent pas pour toi donc tu ouvres le spectacle avec la pression. Le premier soir était un peu timide au niveau des réactions et j'ai donc réajusté ma conduite car il faut savoir que le public de Chantal Ladesou est différent du mien. C'était très enrichissant et formateur.
Quelle salle vous fait rêver ?
Mon plus grand kiffe serait de faire La Cigale à Paris. Sinon, mon grand rêve est de faire le festival de Montreux car ma mère est aujourd'hui installée en Suisse.
Quels souvenirs gardez-vous de votre première scène ?
C'était devant ma famille. Je faisais beaucoup de discours quand j'étais petit. À chaque fois qu'il y avait un anniversaire, j'étais toujours chargé des discours pour tanner la personne qui fêtait son anniversaire. Je prenais vraiment ça à cœur en prenant le temps d'écrire des sketches pour tailler mon oncle ou ma tante.
Votre nom de scène est Didou. D'où vient ce surnom ?
C'est un surnom que me donner mon père. Du coup, j'ai voulu le garder. En réalité, je m'appelle Xavier Dupont mais le problème c'est que si vous tapez mon nom sur internet, tu tombes sur Xavier Dupont de Ligonnès. Et comme je ne voulais pas planter ma famille sous la terrasse, j'ai choisi Didou (rire).
On dit que vous êtes le pote idéal. Quel regard porte vos amis sur votre carrière humoristique ?
Je n'ai pas d'amis donc je ne pourrais pas vous dire (rire). Mon spectacle c'est vraiment un moment à la bonne franquette sans prise de tête et qui n'est pas autobiographique. J'évoque des situations que tout le monde peut rencontrer dans la vie. Il n'y a pas une morale ou une cause que je défends. Je conçois mon spectacle comme un apéro.
À chaque fin de vos représentations, vous allez toujours à la rencontre de votre public. C'est important pour vous ?
Oui très important. Je reçois souvent des messages sur Facebook et Instagram et je vais toujours voir le profil de ces gens-là. J'ai même un calepin où je mets toutes les photos que je prends avec tout le monde depuis mes débuts.
Avez-vous d'autres projets pour 2019 ?
J'ai envie de participer en tant qu'invité à une émission du style « Vendredi tout est permis ». À partir de juin, je vais faire plus de vidéos sur Instagram. J'espère aussi avoir des extraits dans les matinales télés pour faire la promotion de mon spectacle.
Que peut-on vous souhaiter pour le futur ?
Continuer à trouver des sketches qui plaisent aux plus grands nombres et rencontraient encore plus de personnes cool. »
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