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Cécile Djunga, une boule d'énergie positive !

Après l'obtention de son bac, Cécile Djunga se dirige vers les planches de théâtre. Et à la suite de ces quatre années au Cours Florent, elle participe au « Jamel Comedy Club » et reçoit les précieux conseils de Jamel Debbouze avant de proposer son premier spectacle « One Killeuse Show ». Aujourd'hui, c'est une artiste beaucoup plus expérimentée qui s'illustre avec un second one-woman-show intitulé « Presque célèbre ». Entre télévision et théâtre, elle dispose de plusieurs cordes à son arc pour le plus grand bonheur de son public. Rencontre avec Cécile Djunga, une boule d'énergie positive !


« À l'âge de 12 ans, vous commencez le théâtre à Bruxelles. Qu'est-ce qui vous a motivé pour suivre ces premiers cours ?

Quand j'étais petite, j'articulais très mal. Je portais un appareil dentaire et parlais très vite. Ma maman m'a inscrit à des cours de diction où l'on apprenait à articuler et interpréter des textes. Sans le savoir, j'ai commencé le stand-up à l'âge de 12 ans, car j'écrivais déjà des textes drôles. Quand j'ai eu mon bac, je voulais faire du théâtre ou des études dans les relations publiques.


Vous avez donc fait le choix du théâtre. Avez-vous suivi une formation ?

Je me suis entraîné au Cours Florent pendant quatre ans. Je ne connaissais pas forcément le milieu car j'étais jeune, mais j'ai toujours voulu viser les meilleurs pour endroits pour être entouré des meilleurs.


Avez-vous eu des influences humoristiques ?

Au début, l'humour n'était pas mon truc. Je ne pensais pas du tout devenir humoriste. J'adore un artiste comme Charlie Chaplin notamment sa manière de critiquer la société avec humour. Dans un style plus récent, j'aime beaucoup Nawell Madani pour son jeu scénique et ses capacités à mélanger la danse, le stand-up mais également sa communication avec son public. Après, je n'ai jamais été très fan d'une personne en particulier. Quand j'ai commencé dans ce métier, on me comparait tout le temps à Claudia Tagbo, ce qui m'énervait. J'ai essayé de tout faire pour gommer ça en parlant moins de sujets communautaires car je ne voulais pas être stigmatisé là-dedans.


© Marin Godfroid


Vous avez participé au « Jamel Comedy Club ». Quels conseils avez-vous reçus de la part de Jamel Debbouze ?