top of page
"Si tu as peur de l'échec, n'essaye pas de réussir !"
Bienvenue sur mon site internet !
Rechercher


Abdel Raouf Dafri : "Si le cinéma existe, c'est grâce à la littérature."
Il n'a jamais dissimulé la part de rage qui l'a accompagné à ses débuts : « J'ai écrit un jet de trente pages d’Un Prophète, j’étais tout seul, au RMI. Et ça m’a permis d’exister. J’étais un petit garçon de 38 ans très en colère… » confie Abdel Raouf Dafri. Conscient que cette colère brute risquait de déborder dans son écriture — « sinon l’histoire va sentir le seum et ce n’est pas bon », lâche-t-il en riant — il s’entoure alors d’une plume plus posée, celle de Nicolas Peufai

Samuel Massilia
il y a 4 jours5 min de lecture


Ophélia Kolb : "Cette jeunesse est forte, un bel avenir arrive."
Elle s’est plongée avec enthousiasme dans un panorama foisonnant de fictions, révélant autant la vitalité de la jeune animation française que la maturité des thèmes qui traversent les nouvelles générations. Ophélia Kolb voit dans la création française un terrain où s’affirment des voix longtemps laissées en marge. Son parcours professionnel reflète cette dynamique : des téléfilms aux séries grand public, des collaborations avec des acteurs confirmés jusqu’à de nouveaux projet

Samuel Massilia
il y a 5 jours2 min de lecture


Alain Tasma : "La télé est le médium de l'intime."
Son nouveau film, Impacts , présenté au festival Creatvty de Sète, est un récit tendu autour de la question des actes et de leurs conséquences, porté avec intensité par Margot Bancilhon, Pablo Pauly et une génération montante de jeunes comédiens (Florian Lesieur, Inès Kermas). Derrière la caméra, Alain Tasma poursuit son exploration du réel et des zones sensibles qu’il renferme, lui qui, depuis l’adolescence, n’a cessé de chercher dans l’art une manière de déplacer notre rega

Samuel Massilia
il y a 5 jours2 min de lecture


Iris Bucher : "Les rencontres et les hasards de la vie m’ont amenée vers la production."
Elle s'impose comme une pionnière dans le paysage de la fiction française. Iris Bucher façonne des récits contemporains, accompagne les auteurs, et porte une vision qui se nourrit autant de ses propres intuitions que de ses rencontres. Iris poursuit cette ligne artistique avec Été 36, qu’elle achève pour TF1 en 2026. À travers chacun de ses projets, Iris Bucher confirme son engagement et sa vision : raconter des histoires où les femmes occupent enfin la place qu’on leur doit.

Samuel Massilia
il y a 5 jours3 min de lecture


Pascal Elbé : "L’ennui développe l’imaginaire."
Chez Pascal Elbé, le cinéma n’est jamais un simple métier : c’est une manière d’observer le monde, de s’en amuser, de le questionner et d’en révéler les nuances. Il explore aujourd’hui, avec son quatrième long-métrage La bonne étoile , cette frontière délicate entre le rire et le tragique, la légèreté et les blessures profondes. Rencontre. ©Denis Guignebourg / Bestimage « Pascal, vous étiez le président de la 2ᵉ édition du Festival Creatvty, à Sète. Comment définiriez-vous l

Samuel Massilia
il y a 5 jours2 min de lecture


François Liétout : "J’aime les variations et les contrastes dans la musique."
Au cœur de la création audiovisuelle, il existe des voix silencieuses mais essentielles : celles qui sculptent l’émotion par la musique. François Liétout poursuit cette quête d’un langage musical qui ne se contente pas d’accompagner l’image mais l’habite, la transforme et l’éclaire, tout en cherchant l’endroit exact où une mélodie peut révéler un personnage et servir une histoire. Rencontre. ©Denis Guignebourg / Bestimage « François, vous étiez membre du jury de la 2ᵉ édition

Samuel Massilia
il y a 5 jours3 min de lecture


Frédéric Lopez & Louis Derungs : "Quand rien n'est sûr, tout est possible."
Il y a des rencontres qui ne relèvent pas du hasard mais d’une forme de nécessité intime, presque de destin. Frédéric Lopez et Louis Derungs, accompagnés d'une belle équipe, signent avec Après la fin une œuvre à la fois touchante et traversée d'humour, qui raconte un parcours de vie hors norme, marqué par la résilience, la transformation et la force de ceux qui refusent de laisser une épreuve définir leur horizon. Après la fin n’est pas seulement une libre adaptation : c’est

Samuel Massilia
il y a 5 jours4 min de lecture


Matilda Moreillon : "Être face à un public, dans l’instant présent, c’est la vie."
Elle traverse les formations, les auditions et les scènes avec une honnêteté rare, parfois bousculée, souvent courageuse, toujours vraie. Le parcours de Matilda Moreillon est fait d’élans, de doutes, de grands sauts et de réinventions. Aujourd'hui, plus que jamais, Matilda est animée par une envie simple : retourner là où tout s’aligne pour elle, dans le jeu, dans l’instant, dans ce dialogue fragile et puissant entre elle et le public. Rencontre. © François Berthier « Matilda

Samuel Massilia
13 nov.3 min de lecture


Giscard Ndjogou Nguisamba : Le FIFI, c’est le cinéma qui réunit les mondes."
Le Festival International du Film et Inclusion (FIFI) s’impose comme une passerelle unique entre les continents et les cultures, et s’inscrit dans une démarche profondément engagée : faire du septième art un outil d’union, de formation et d’action sociale. Plus qu’un simple événement, le FIFI se veut un mouvement, un espace de dialogue où chaque voix trouve sa place et où le cinéma devient, véritablement, un langage universel au service de la dignité et de la diversité. Renco

Samuel Massilia
12 nov.5 min de lecture


Julia Spinosi : "Le public est très touché par rapport à la voix."
Il y a chez Julia Spinosi une façon d’aborder la musique comme on aborde la vie : avec souffle, corps et conviction. Sa voix n’est pas seulement un instrument, c’est une présence, un lieu d’émotion où sa tessiture, ample et souple, transporte celles et ceux qui l'écoutent. Animée par un sens du jeu et une curiosité du vivant, Julia Spinosi, formée au piano avant d’oser la voix, a appris à laisser la musique passer par elle comme un courant vital. Rencontre. © karinaa.photo «

Samuel Massilia
6 nov.5 min de lecture


Pierre Filmon : "Le monde est entré chez moi quand j'étais jeune."
Chaque voyage le nourrit, non seulement comme cinéaste, mais comme homme : à travers les visages croisés, Pierre Filmon retrouve les racines d'une humanité partagée. Son cinéma est rythmé par le réel et ses tournages, de fiction ou de documentaire, sont des lieux d'échange et de confiance. Pierre filme ce qui relie plutôt que ce qui distingue. Dans The Great Departure , sa dernière réalisation, cette quête prend une forme presque spirituelle. L'œuvre de ce cinéphile avérée té

Samuel Massilia
6 nov.5 min de lecture


Bonneville : "Un concert, c’est une rencontre entre le public et l’artiste."
Il a les mots comme instrument. Entre humour, poésie et énergie, Bonneville déploie sur scène un univers bien à lui, où sa plume navigue aussi bien entre la mélancolie douce d'un matin de café et l'espièglerie d'un refrain pop. Ce jeune Stéphanois, encore émergent mais déjà porteur d’une signature artistique forte, ne cherche pas à suivre la tendance : il la crée à son rythme. Rencontre. © Victor Saddier « Théo, je t’ai découvert en première partie d’Ycare au Pasino d’Aix-en-

Samuel Massilia
3 nov.4 min de lecture


Sonal Sehgal : "L'Inde est une expérience sensorielle."
Son écriture, façonnée par l'introspection et nourrie d'expériences personnelles, puise sa force dans la sincérité. Chez Sonal Sehgal, l'art naît d'un regard lucide sur le monde et d'un besoin viscéral de raconter. Dans The Great Departure, elle incarne cette tension avec une justesse qui parle à toutes les cultures. Et dans un monde où les récits féminins cherchent encore leur pleine légitimité, Sonal avance avec conviction, prouvant qu'être une femme de cinéma, c'est aussi

Samuel Massilia
2 nov.6 min de lecture


Dutch Young : "Mon premier tournage a été une expérience excitante."
Le festival des Antipodes a accueilli une nouvelle voix prometteuse du cinéma australien : Dutch Young. À seulement dix-huit ans, il porte un regard attentif et une douceur un peu rêveuse. Venu présenter Sandwich , son premier court-métrage, le jeune réalisateur s'inscrit dans un mouvement émergent du cinéma indépendant australien : celui d'une jeunesse créatrice et désinvolte. Sa présence au festival rappelle que Saint-Tropez n'est pas qu'un lieu de mémoire du cinéma, mais u

Samuel Massilia
24 oct.2 min de lecture


Ycare : "Mon rôle, c'est d'unir."
Il sera sur la scène du Pasino d'Aix-en-Provence le mercredi 29 octobre à 20h30, « une ville que j’aime beaucoup et tellement jolie qu’on a envie d’y habiter. » Ycare sillonne actuellement la France avec son nouvel album et c'est avec une énergie communicative qu'il déclare sa flamme à un public fidèle et venant de toutes les régions. Depuis la fête de la Musique au Sénégal quand il était lycéen et animateur, « le Jean-Luc Reichmann de la 4ᵉ à la Terminale », celui qui fa

Samuel Massilia
23 oct.3 min de lecture


Entre humour et gravité, “Coma” dévoile une autre manière de filmer l’intime.
Au festival des Antipodes, la projection de Coma a résonné comme une œuvre profondément intime. Avec ce film, Saara Lamberg signe un vibrant hommage à sa mère, disparue il y a neuf ans. À travers cette histoire suspendue entre veille et inconscience, la cinéaste explore le lien invisible qui unit les vivants et les absents. Improvisé de bout en bout, Coma est un film libre, mouvant, qui avance au rythme des émotions — entre humour discret, sensibilité pure et éclats de réal

Samuel Massilia
23 oct.2 min de lecture


Bernard Bories : "Leur avis peut donner un coup de pouce important à la vie d’un cinéaste et d’une équipe de film."
À Saint-Tropez, le festival des Antipodes s’est imposé au fil des années comme un phare essentiel du cinéma venu d’Australie et de Nouvelle-Zélande. À son origine, un passionné : Bernard Bories, cinéphile habité par le souvenir d’une émotion fondatrice. Depuis, il n’a cessé de défendre ces œuvres venues du bout du monde, d’abord dans les salles obscures, puis au cœur du village tropézien, entre ciel méditerranéen et souffle du Pacifique. Vingt-sept ans plus tard, l’aventure

Samuel Massilia
21 oct.3 min de lecture


Arnaud Binard : "L’Océanie est un continent très connecté avec le sud-ouest."
Il se prête, à chaque fois, à la conversation avec une simplicité solaire. Parrain de la 27ᵉ édition du festival des Antipodes à Saint-Tropez, Arnaud Binard s'est laissé emporter par sa curiosité pour découvrir des films venus tout droit d'Australie et de Nouvelle-Zélande. Dans la salle du cinéma Star, la lumière des projecteurs a diffusé un souffle et une énergie qu'Arnaud a tout de suite reconnus. Rencontre. © Clara Valette - Festival des Antipodes « Arnaud, vous étiez le p

Samuel Massilia
20 oct.2 min de lecture


Lol!x : " La musique m’a donné la force de ne plus m’excuser d’exister."
Son écriture est sincère et directe. Lol!x met des mots sur des émotions que l'on tait souvent, trouvant toujours la justesse entre pudeur et intensité. Son premier album sera l'élan d'une chanteuse, autrice et compositrice dont le nom est à retenir. Sur scène, l'univers de Lol!x conquiert déjà les cœurs et les âmes. Accompagnée de son piano et d’arrangements électroniques, elle offre un live intime et vibrant, où la sincérité de l’interprétation crée une véritable connexion

Samuel Massilia
20 oct.3 min de lecture


Alexandre Sookia : "L’EP parle de tous les bagages qu’on peut traîner."
Il signe un premier EP touchant et sincère, entre folk et pop française. Intitulé Porte Bagage , ce projet de six titres explore les liens qui nous construisent, les émotions qui nous traversent, les personnes que l’on aime – celles qui restent, et celles qui s’en vont. À travers une écriture fine et personnelle, Alexandre Sookia dessine un voyage intérieur porté par des mélodies douces, des guitares acoustiques, et une voix à fleur de peau. Rencontre. « Alexandre, ton nouve

Samuel Massilia
17 oct.5 min de lecture
bottom of page



