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Marie-Flore, une artiste hors-norme !

Après avoir proposé son tout premier album en anglais, Marie-Flore signe un nouvel album intitulé « Braquage » à l'univers éclectique. Mêlants différents genres musicaux en passant de la folk électrique à la pop urbaine, elle est une chanteuse qui se distingue par une personnalité qui ne ressemble à aucune autre. Rencontre avec Marie-Flore, une artiste hors-norme !

© Alexandre Tabaste

« Tu as récemment sorti ton nouvel album intitulé « Braquage ». Peux-tu nous parler de l’univers de cet album ?

C’est un disque qui parle d’une histoire d’amour et je dirais que c’est un univers assez nocturne et éclectique.


Comment est né cet album sachant que tu avais proposé ton tout premier album intégralement en anglais ?

J’ai eu envie de passer à autre chose car je pense avoir fait le tour de ce que je voulais dire en anglais. J’avais envie de faire une musique un peu différente et me mettre au français m’a permis de composer et d’écrire différemment.


© Alexandre Tabaste

Plus d’un mois après la sortie de l’album, peut-on dire que le braquage est réussi ?

L’avenir nous le dira (rires).


« Braquage » qui est le morceau phare de l’album évoquant la rupture amoureuse, a-t-il été difficile à écrire ?

Je dirai que je n’ai pas trop eu de difficulté à écrire tous les titres de l’album puisque j’avais besoin de les faire. Ce sont des chansons assez tristes mais dans l’activité d’écrire c’était un plaisir (rires).


Où peut-on te retrouver prochainement sur scène ?

Je serai le 9 décembre au théâtre « Les Etoiles » à Paris et le 16 janvier à Marseille.


Pendant huit ans, tu as appris le violon au Conservatoire. Comment est né ton gout pour la musique ?

Je me suis mise au violon car je devais jouer d’un instrument quand j’étais petite. J’ai pris ça mais je pense que je n’étais pas très doué pour la musique classique. J’écrivais beaucoup de textes et je voulais les mettre en musique donc l’écriture m’a aussi amenée au piano.


Quels sont les artistes qui t’ont inspiré dans l’écriture ?

J’écoute beaucoup de musiques des années 60, de Garage Rock à Leonard Cohen. Ils m’ont vraiment donné l’envie d’écrire.


Tu as fait les premières parties des artistes Baxter Dury et Peter Doherty à tes débuts. Quels souvenirs en gardes-tu de tes premières scènes ?

C’était il y a dix ans et j’en garde des souvenirs assez fous car c’était des aventures extraordinaires. Quand tu es en première partie, les gens ne sont pas venus pour toi donc c’est un gros challenge chaque soir d’essayer de convaincre, de faire connaître sa musique.


© Alexandre Tabaste

Envisages-tu de rechanter en anglais ?

J’écris encore un petit peu en anglais mais je suis tellement bien dans le français maintenant que je ne me pose plus cette question.


Tu écris également pour des artistes rNb comme pour Sofiane avec « Comme un Signe ». Ecrire pour les autres est un exercice qui te plait ?

J’adore écrire pour les autres. C’est un exercice que je fais assez souvent et j’aime beaucoup ça. C’est très cool quand ce que tu écris convient à l’artiste.


Quels sont tes projets pour les mois à venir ?

En 2020, on sera en pleine tournée donc c’est assez chargé avec pas mal de dates et de festivals l’été. On va sortir des nouveaux titres très rapidement au début de l’année prochaine.


Que peut-on te souhaiter pour le futur ?

Des salles remplies (rires). »

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