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Un week-end de cinéma à La Ciotat !

On se souvient tous du premier film vu dans une salle de cinéma, entre potes ou avec ses parents, mais cette première rencontre avec l’obscurité de la salle et la lumière de son écran restent très souvent un moment marquant. C’est cette notion de première que le Festival du 1er Film Francophone de La Ciotat entretient depuis 39 ans avec passion et générosité.


© Samuel Massilia

Quand on entre dans l’Eden, on se sent comme un enfant dans un magasin de bonbons. Les yeux s’éparpillent à droite et à gauche pour admirer les moindres recoins du plus vieux cinéma du monde en activité. Les murs d’entrée sont peints aux affiches de The Artist, Week-end à Zuydcoote et La Môme, chef-d’œuvre du minot Ciotaden et président du jury Olivier Dahan.


Hier après-midi, en sortant de la table ronde autour du métier de scénariste, les curieux de naissance ont savouré ces deux heures passés autour d’un métier absent des conversations mais si essentiel à la production d’un film. Le côté cour de l’Eden se remplit, les sourires gagnent les visages, ça papote, rigole, se rappelle des souvenirs et évoque même l’avenir.


Depuis mercredi, le festival propose un florilège vaste et éclectique de premiers courts-métrages et longs-métrages francophones. De nouvelles histoires nous sont racontées et de nouveaux personnages se présentent à nous. Ce week-end du 4 et 5 juin mettra à l’honneur les six derniers films en compétition ainsi que les courts-métrages réalisés dans la région sud-Paca et Corse.


Pour venir soutenir et encourager ces premières créations, munissez-vous de votre ticket via le site internet pour venir raconter vos souvenirs de cinéma avec ceux qui le font, mais aussi avec ceux qui le regardent. Parce que ce festival nous rappelle ô combien les émotions fabriquent nos valeurs et ô combien le cinéma nous permet de faire perdurer notre sensibilité.


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