Depuis son élection de Miss Aquitaine en 2016 et sa onzième place à Miss France 2017, Axelle Bonnemaison a poursuivi son chemin dans ses différentes passions. De la mode au mannequinnat en passant par le sport, cette femme d'affaires pétillante et sympathique a le goût d'entreprendre. Rencontre avec Axelle Bonnemaison, une miss devenue entrepreneuse !
« En 2016 tu as été élue Miss Aquitaine et tu termines en phase des demi-finales de l’élection Miss France. Trois ans plus tard, quels souvenirs gardes-tu de cette expérience unique ?
C’était tellement intense qu’il n’y a pas un souvenir en particulier. Que ce soit le voyage sur l’île de La Réunion ou le soir du prime devant toutes ces personnes, c’est vraiment toute l’aventure qui est un beau souvenir. J’étais à Marseille en décembre dernier pour soutenir la Miss Aquitaine. C’était stressant et frustrant puisque je me suis mise à sa place. Et je trouve que cette année ça a évolué car elles sont plus nombreuses à être prises dès la première sélection.
Une aventure qui t’a donné l’aisance de la scène et de t’exprimer face à un public ?
Complètement. Surtout à l’oral. Au collège, faire un exposé à l’oral était ma hantise. Je demandais au professeur de faire l’exposé quand tout le monde était parti à l’heure de pause. En faisant les élections au niveau départemental en premier, j’ai été complètement changé par rapport à ça. Maintenant, je peux parler devant n’importe qui. Pour Miss France il y avait quatre millions de téléspectateurs donc après ça on peut tout faire (rires).
Passionnée par le mannequinat, tu te diriges vers le milieu de la mode avec un diplôme SupMode.
J’ai fait la spécialisation en marketing de luxe. La dernière année de mes études, j’ai eu un stage de six mois à faire pour clôturer l’année scolaire et j’avais fait le choix de faire assistante attachée de presse. Je suis allé sur Paris car dans le milieu du luxe à Bordeaux ça n’existe pas. J’ai été dans une entreprise dans laquelle j’ai travaillé six mois avec eux. C’était génial et très intensif, grâce à ça j’ai réussi à élargir mon réseau. C’est à partir de ce moment-là que j’ai décidé d’entrer dans une agence sur Paris.
As-tu fait des défilés de mode ?
J’ai fait des défilés pour des mariages par exemple. Après, des défilés de mode non car je ne suis pas catégorisé comme mannequin couture mais plus comme mannequin pub pour les promotions de vêtements comme on peut les voir à la télé. Et puis je ne suis pas assez grande pour faire mannequin couture (rires).
Tu es aussi une femme d’affaires avec des activités dans l’entreprenariat. Peux-tu m’en parler plus en détail ?
Je suis en cours de création de mon entreprise sur la location de robes haut de gamme principalement dans la région Aquitaine. C’est ce qui se fait beaucoup à Paris et qui manque à Bordeaux. À Bordeaux, il y a un engouement autour de l’authenticité bordelaise. J’aimerais avoir une partie de robe qui soit créée par des jeunes créateurs locaux et une autre partie que j’achèterais soit en France soit à l’étranger pour avoir des modèles qui n’existent pas. Tout va se ressembler un petit peu mais dans l’idée j’aimerais avoir des pièces fortes et difficiles à trouver en France.
Quels sont tes projets pour 2020 ?
Je suis toujours mannequin et j’ai eu une proposition pour un déplacement à l’étranger. Si j’ai des opportunités à saisir dans ce milieu-là, bien évidemment que je l’ai prendrai.
Que peut-on te souhaiter pour le futur ?
Beaucoup de bonnes choses (rires). Que mes projets se développent comme je l’entend. »
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