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Dutch Young : "Mon premier tournage a été une expérience excitante."

  • Photo du rédacteur: Samuel Massilia
    Samuel Massilia
  • il y a 11 minutes
  • 2 min de lecture

Le festival des Antipodes a accueilli une nouvelle voix prometteuse du cinéma australien : Dutch Young. À seulement vingt ans, il porte un regard attentif et une douceur un peu rêveuse. Venu présenter Sandwich, son premier court-métrage, le jeune réalisateur s'inscrit dans un mouvement émergent du cinéma indépendant australien : celui d'une jeunesse créatrice et désinvolte. Sa présence au festival rappelle que Saint-Tropez n'est pas qu'un lieu de mémoire du cinéma, mais un terrain d'éclosion pour les talents de demain. Rencontre.


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« Dutch, tu étais présent au festival des Antipodes, à Saint-Tropez, pour présenter ton premier court-métrage Sandwich. De quoi ça parle ?

C’est l’histoire d’un père et de son fils racontée de manière non littérale à travers la fabrication de deux sandwichs. C’est un drame familial, ce qui est plus subtil ou du moins, c’est l’intention. Ce n’est donc pas une histoire à grand rebondissement à expliquer ou à résumer, mais j’espère que lorsque vous regarderez le film, il vous marquera.


Quels souvenirs as-tu du tournage ?

C’était très excitant. Ça n’a duré que trois jours, et nous avons tourné chez moi, dans la maison familiale, à Sydney. Mon père, Aden Young, a joué son propre rôle et ça aide qu’il soit acteur professionnel. Il est d’ailleurs à l’affiche du film Don’t Tell, présenté au festival des Antipodes. J’ai aussi fait appel à une camarade de classe de théâtre, Salon, que je trouvais également fantastique. C’était vraiment une expérience amusante, même si parfois un peu stressante de voir ce que j’avais écrit prendre vie à l’instant même et d’essayer de le capturer sans perdre la lumière du soleil.


Quels sont tes prochains projets ?

Il y a plusieurs idées différentes. Il y a un film un peu plus loufoque avec ma petite amie, Zoe Mills, qui est également cinéaste et réalisatrice. Nous avons envisagé de faire un film intitulé Would You Still Love Me If I Was a Worm (M'aimerais-tu encore si j'étais un ver ?), qui est un jeu de mots sur cette question. »

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© 2021 par Samuel Massilia.

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