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Tydiaz, vivre ses rêves !

Dernière mise à jour : 30 avr. 2020

Il a démarré en tant que DJ dans des soirées privées ou des clubs de sa région. Aujourd'hui, Tydiaz est un artiste épanoui, heureux de vivre de sa passion. Sévillan d'origine, il connaît le succès en 2017 avec le titre « Claro de Luna ». Un travail récompensé qu'il a su gérer en gardant la tête sur les épaules. Faisant preuve d'une grande humilité, Tydiaz est un amoureux de la musique pour qui l'avenir s'annonce de plus en plus radieux. Rencontre avec Tydiaz, vivre ses rêves !


© Lorent Kostar

« On te connaît avec les succès des clips « Claro de Luna », « Dimelo », « Solo Contigo » et « Vale ». Comment a démarré ton histoire avec la musique ? Il y a dix ans, j’ai quitté les cours. Depuis que je suis tout petit je veux faire de la musique. Avec ma famille, j’ai été bercé dans le flamenco. J’ai donc démarré en tant que DJ où je faisais beaucoup d’animations dans des soirées privées et des clubs de ma région. Et puis petit à petit j’ai vu que mon plaisir était d’être derrière le micro et de chanter. J’ai commencé à composer sur des logiciels puis j’ai écrit un EP qui s’appelle « Vivre ses rêves » et qui est toujours disponible sur les plateformes en ligne. En 2012 j’ai rencontré mon producteur et tout est parti de là. Ça fait sept, huit ans que l’on travaille ensemble. « Claro de Luna » est le single qui te révélera au grand public. Ce morceau a une histoire bien particulière puisque tu l’as écrit en 2014 pour finalement connaître un grand succès trois ans plus tard. Comment s’est passé le tournage à Séville, ta ville d’origine ? Pour mon premier clip signé en maison de disque, je voulais absolument aller sur mes terres d’origine. C’était un bel hommage pour mon grand-père. Ce clip a dépassé les 6 millions de vues. Comment as-tu vécu ce succès ? Je ne m’y attendais pas du tout (rires). C’était une belle expérience et une belle aventure. Jusqu’à aujourd’hui, je n’ai jamais pris les gens de haut, je suis resté le même et je continue surtout à travailler mes morceaux parce que du jour au lendemain tout peut s’arrêter. Il faut rester droit.


Auteur, compositeur et interprète. Tu as besoin d’être la tour de contrôle de tes projets ? Parfois je reçois des prods d’autres compositeurs qui sont super mais qui ne m’inspirent pas. C’est comme si la magie n’opérait que si c’était moi derrière la tour de contrôle. Ça ne m’aide pas toujours car l’inspiration n’est pas toujours là. Tu as multiplié les showcases et les petits concerts. Quel est ton rituel avant de monter sur scène ? À l’époque, je faisais des pompes et j’ai arrêté depuis (rires). Je n’aime surtout pas attendre. Quand je faisais des plateaux radios et que je voyais mon nom dans les derniers à passer, je voulais monter tout de suite sur scène.


© Lorent Koster

Aurais-tu une citation fétiche à nous délivrer ? « Vis tes rêves et ne rêve pas ta vie ». Il faut croire en soi malgré qu’il existe toujours des moments de doute. Il faut aller au bout de ses rêves. Je suis parti de rien du tout. Je n’habitais pas à Paris et je n’étais pas préparé à ce milieu. Je me suis débrouillé et j’y ai cru même si certaines personnes me mettaient des bâtons dans les roues. Quels sont tes futurs projets ? J'ai terminé mon prochain son qui ne sera pas sur du latino. Ce sera un morceau très français qui s’appellera « Marionnette ». On a un concept de clip sympa avec une marionnette qui va me ressembler. Avec le confinement, tout est malheureusement bloqué. On ne veut pas sortir le titre sans le clip. Que peut-on te souhaiter pour le futur ? Que l’aventure continue. »



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