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Wendy Nieto : "Chloe est très écorchée."

Elle a un flot d'idée à la minute et peut passer des soirées entières avec ses amis à s'imaginer tous les scénarios... Wendy Nieto retrouve son personnage de Chloé Barbier dans la nouvelle saison de la série Le Code sur France 2, un rôle qu'elle aime incarné et évoqué avec justesse et précision. L'ambiance du cabinet Ayad, Toma et Vanhoven la nourrit humainement, « le métier nous rapproche d'univers loin de nous ». Et nous, la fiction nous rapproche de cette comédienne aux multiples talents et dont les nouvelles aventures sont à suivre de près.


© France Télévisions

« Wendy, on te retrouve ce soir dans la saison 2 de la série Le Code sur France 2. À quoi doit s’attendre le téléspectateur avec les six nouveaux épisodes ?

Le personnage d’Idriss (interprété par Daniel Njo Lobé) n’a plus beaucoup de temps à vivre. Il a envie de profiter de ses collègues de travail, de sa fille et de son métier d’avocat qui lui tient à cœur. On est beaucoup dans l’urgence dans cette saison 2.


Quelle présentation ferais-tu de ton personnage Chloé Barbier ?

C’est la fille d’Idriss, un père parti à sa naissance qui a préféré sa carrière à elle. Quand Chloé débarque dans la première saison, elle a de la rancune et de la rage, même s'il essaie de rattraper le temps perdu. En plus de ça, mon personnage a un procès pour avoir renversé quelqu’un en voiture. Chloé est très écorchée.


Quelle place occupe-t-elle dans cette nouvelle saison ?

Elle a pris en maturité et essaie de se construire un avenir en s’inscrivant à la fac. Chloé a aussi envie de renouer des liens avec son père, elle ne veut plus être dans le conflit mais le soutenir au maximum. J'ai toujours aimé incarner ce genre de personnages avec une grande part d'ombre. Et puis d'avoir un partenaire comme Daniel, c'est juste agréable de jouer avec lui.


© France Télévisions

Quand j’ai reçu Daniel Njo Lobé pour parler de la première saison, il a eu ses mots pour toi : « Wendy, c’est la claque ! Une rapidité de jeu, une vérité, il y a plein de moments où je la regardais et j’étais au spectacle. »

Ah oui ! C’est très touchant. J’ai vraiment l’impression qu’on est une famille. Je ne partage pas beaucoup de scènes avec les autres comédiens, mais tout le monde est là pour s’entraider et s’écouter, il y a de la bienveillance entre nous.


D’où te vient ce goût du jeu ?

J’ai toujours été rêveuse. À l’école, peu de matières m’intéressaient donc j’avais tendance à partir dans l’imaginaire et à m’inventer des petites histoires dans ma tête. Et un jour, à l’âge de seize ans, j’ai fait une colo au cinéma, on a écrit, tourné et monté des petits films et j’ai eu envie de faire ça tous les jours. J’ai beaucoup appris avec les tournages et les courts-métrages que j’ai fait avec mes potes. On prend le réflexe de bien se placer pour le cadreur, d’être raccord sur les gestes et de penser au script et au montage. Pour moi, c’est la meilleure école.


Pour conclure cet entretien, aurais-tu une citation fétiche à me délivrer ?

« Ce qui ne tue pas rend plus fort. »

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