Priscilla Liaud, un voyage dans les médias !
Quand on croit en ses rêves, on finit par réussir. Objectif atteint pour Priscilla Liaud : devenir journaliste. Elle qui se voyait devenir Loïs Lane quand elle était petite est aujourd'hui devenue une experte média aguerri. De ses premiers pas à la télévision avec Vincent Cerutti à sa chronique dans l'émission Un éclair de Guény sur VL, Priscilla est une fervente des ondes radiophoniques et du petit écran. Rencontre avec Priscilla Liaud, un voyage dans les médias !

« Tous les mercredis, on te retrouve dans l'émission Un éclair de Guény sur VL. Quand as-tu rejoint l'équipe de Maxime Guény ?
Ça va faire trois ans. Avec Maxime on a travaillé ensemble sur Non Stop People, on animait un débat qui s’appelait Le duel des éditorialistes. On est ami depuis toujours et quand il m’a proposé de rejoindre son émission, j’ai dit oui tout de suite.
Quel est le ton de ta chronique Le Sexy Sexo ?
Maxime m'avait demandé de faire une chronique "sexo". Au début, je me suis demandé comment j’allais la faire, le sexe peut être mal vu. Il faut approcher le sujet d'une façon un peu plus scientifique et drôle. Dès la première chronique, ça a beaucoup plu et ensuite, j’ai fait en fonction des retours qu’on a eus par rapport au public. Cette année, il y a une petite nouveauté, je réponds à la question d’un auditeur.
Maxime Guény me disait que son émission était multi-thématiques avec beaucoup d'amusement. De ton côté, comment la définirais-tu ?
On est une bande de potes qui travaillent ensemble. C’est génial car on prend plaisir à y aller. Souvent, on se rejoint avant ou après l’émission pour manger ensemble. Cette année, l’émission est aussi co-diffusée sur MCETV et on a enregistré un record d’audience, donc on est hyper content.
De la radio on passe au petit écran, tu as rejoint le plateau de Cyril Hanouna à la rentrée. Comment s'est passée ton intégration au sein de la bande de TPMP ?
Très bien ! Ce n’est pas facile de rentrer dans un groupe qui se connaît bien depuis des années. J’ai été très bien accueillie. Dès le pilote, Bernard Montiel a été adorable avec moi, il est venu m’encourager, m’a dit que j’étais super jolie et que tout se passerait bien. Pareil avec Kelly, le premier jour de la rentrée elle m’a fait essayer des vêtements, elle a été très accueillante et Isabelle, avec son humour, m'a vraiment détendue. Je savais qu’ils étaient tous gentils mais je ne m’attendais pas à un accueil aussi chaleureux.

Journaliste de formation, tu décroches un master en média et journalisme à Newcastle, en Angleterre. Quand est-ce que cette passion pour les médias est née chez toi ?
Au départ, je voulais travailler dans la publicité. Ça ne m’a pas trop plu, j’ai donc fait un stage chez Les Nouvelles de Rambouillet, un journal local qui fait de l’actualité. J’avais dix-sept ans à l’époque et un jour, un journaliste tombe malade et le directeur de la rédaction me propose de le remplacer sur une interview d’une commissaire femme. Je n’en avais jamais fait de ma vie, c’était vraiment la panique (rires). J’y suis allé et ça s’est très bien passé. Il a publié mon article dans la